Nutri Endo contient un assemblage d’oligo-métaux micro-dosé vectorisés selon le procédé Nuvex 38. 

Les oligo-métaux sont indispensables à la vie en doses infinitésimales. Doses reprises dans la composition de Nutri Endo. 

Le procédé Nuvex 38 permet une vectorisation qui consiste à moduler et contrôler la distribution du principe actif vers une cible en l’associant à un vecteur. Pour Nutri Endo la ionisation, c’est-à-dire la fabrication d’une forme ionisée directement assimilable qui va agir sélectivement sur la cible moléculaire choisie.  

La boite de Nutri Endo contient 560 comprimés conditionnés dans 2 types de blister :

1) 4 blisters Nutri Endo 1 pour le matin

2) 4 blisters Nutri Endo 2 pour le soir

Chaque blister contient 7 lignes de 10 comprimés numérotés de 1 à 10.

Nutri Endo a principalement une action mécanique. 

Le message de la douleur, appelé information nociceptive, pour être ressenti doit, en partant de la zone « douloureuse » parvenir à différentes zones du cerveau.

Les neurones, cellules composant notre cerveau, permettent d’acheminer l’information nociceptive, comme un câble qui conduit l’électricité. 

Le neurone est composé d’un corps cellulaire ou soma, et de deux types de prolongements : l’axone, et les dendrites, qui sont en moyenne 7 000 par neurone.

Le relais qui assure la transmission de l’influx nerveux est la synapse. Il y en a de 1 à plus de 100 000 par neurone (moyenne 10 000).

L’information nerveuse de la douleur passe par les synapses par l’intermédiaire de plusieurs catégories de récepteurs, dont les récepteurs NDMA ((récepteur au N-méthyl-D-aspartate).

Action à court terme de Nutri Endo :

Au repos, les récepteurs NMDA sont bloqués par l’ion magnésium qui occupe l’entrée du canal ou passe l’influx nerveux, et qui peut être libéré en cas d’inversion de potentiel électrochimique. 

L’arrivée de l’influx nerveux nociceptif va libérer le canal des récepteurs NMDA pour transmettre l’information de la douleur.

L’apporte des oligo-métaux vectorisés de Nutri Endo va « fermer » le canal des récepteurs NMDA et diminuer la perception de douleur.

Action à long terme de Nutri Endo :

La douleur ponctuelle si elle est fréquente, intense et répétitive peut se transformer en douleur chronique par un phénomène appelé sensibilisation centrale. C’est souvent le cas de la douleur liée à l’endométriose.

La prise prolongée de Nutri Endo va diminuer la fréquence et l’intensité de la mobilisation des récepteurs NMDA, inverser progressivement la sensibilisation centrale et potentiellement diminuer également la douleur chronique.

N’hésitez pas à consulter votre gynécologue, votre médecin si vous souffrez d’un ou de plusieurs de ces troubles.

1. Des douleurs violentes pendant les règles

La douleur intense est l’un des premiers symptômes signalés par les femmes. La douleur causée par l’endométriose est intense, aiguë et survient souvent durant les menstruations, mais elle peut également survenir tout au long du cycle. Les femmes atteintes d’endométriose rapportent que cette douleur est comparable à un “pincement” dans la région pelvienne. L’intensité de ces douleurs peut même entraîner des évanouissements et n’est pas soulagée par les antispasmodiques. Certaines patientes se plaignent de douleurs dans une zone beaucoup plus large : le dos, les cuisses et même l’abdomen.

2. Ménorragie 

Des règles abondantes avec ces fortes douleurs pelviennes devraient vous avertir. Une période de saignements sévères, appelée « ménorragie », est couramment observée lors du diagnostic de l’endométriose. La ménorragie se caractérise par une perte de caillots sanguins, des saignements durant plus d’une semaine et la nécessité de changer de protection jusqu’à une fois par heure. De plus, ils peuvent provoquer une grande fatigue et une anémie.

3. Perte de sang occasionnelle autre que menstruelle

Les saignements légers sont appelés “spottings” et les saignements plus graves et permanents sont appelés “saignements utérins”. Le spotting est une caractéristique de l’endométriose dans le muscle utérin appelée “adénomyose”, qui affecte principalement les femmes âgées de 35 à 40 ans. Pour de nombreuses femmes, les saignements anormaux sont associés à des contractions utérines douloureuses. De tels symptômes doivent vous inciter à consulter.

4. Problèmes d’infertilité

En France, l’endométriose est considérée comme la première cause d’infertilité. Bien souvent, le diagnostic est également posé en consultation après un problème de conception. N’oubliez pas non plus que la contraception peut masquer l’inflammation causée par l’endométriose. Par conséquent, certaines femmes se retrouvent dans cet état lorsqu’elles arrêtent la contraception et essaient de tomber enceintes.

5. Rapports sexuels douloureux

 Les rapports sexuels douloureux sont connus sous le nom de “dyspareunie”. Cette douleur débilitante survient généralement lorsqu’elles sont profondément pénétrées, mais peuvent être ressentie n’importe où. La douleur est localisée dans le bas de l’abdomen et ressemble à une douleur piquante, à des crampes sévères et à des brûlures. Si vous souffrez de dyspareunie, n’hésitez pas à consulter votre médecin.

6. Difficultés à uriner et à aller à la selle

Malheureusement, les brûlures urinaires sont bien connues des femmes souffrant d’endométriose. La cystite interstitielle, une inflammation de la vessie sans cause infectieuse, est courante. La cystite interstitielle provoque des douleurs dans la vessie, le bassin ou le bas-ventre, provoquant des mictions fréquentes et urgentes, parfois accompagnées d’incontinence. De plus, beaucoup sont convaincues qu’elles ont seulement une infection urinaire mineure.

 Ce phénomène peut également s’accompagner de constipation, de sang dans les selles, dans les urines. Cependant, chacun de ces symptômes peut survenir individuellement, donc si vous en remarquez un ou plus, c’est une bonne idée de demander conseil à votre médecin rapidement.

7. Dysfonctionnement gastro-intestinal

Parmi les nombreux symptômes de l’endométriose, les troubles gastro-intestinaux doivent être pris en compte : ballonnements, diminution de la fréquence des flatulences ou des défécations, difficulté à uriner. Il existe de nombreux troubles digestifs.

Les femmes qui en souffrent parlent de l’alternance entre les phases de diarrhée et  de constipation lors des menstruations : cela s’explique par les effets de la maladie sur les intestins et donc sur le transit. Après cela, vous pouvez ressentir des ballonnements et des douleurs pendant la défécation. En cas de doute, prenez rendez-vous pour une consultation médicale.

8. Courbatures

Les symptômes de l’endométriose peuvent s’étendre non seulement à la région pelvienne, mais aussi aux épaules ainsi qu’au dos. Cela peut sembler surprenant, mais certaines femmes qui souffrent d’endométriose ressentent des douleurs aux épaules et aux côtes pendant leurs règles. Cela indique généralement que les lésions associées à l’endométriose se situent au niveau du diaphragme dans l’abdomen. Dans ce cas, il s’agit d’endométriose thoracique, une forme plus rare de la maladie. Si la douleur est concentrée sur le dos, cela peut être un signe de lésions rénales. Si vous remarquez ces douleurs pendant vos règles, il est recommandé de consulter immédiatement pour soulager la douleur et recevoir un traitement approprié.

9. Fatigue chronique

La fatigue chronique associée à l’endométriose est sous-estimée, mais elle peut être vraiment handicapante. Plusieurs symptômes, comme la douleur chronique, les saignements importants et l’insomnie, sont des facteurs complexes de fatigue. L’endométriose peut également avoir un effet sur la fatigue chronique.

 Ne négligez pas la détresse mentale que la maladie peut causer. L’attente trop longue de diagnostic et l’incompréhension éventuelle de son entourage contribuent à tout le stress de la vie quotidienne et provoquent parfois un état dépressif. Dans de tels cas, n’attendez pas de rencontrer un psychologue. Un suivi psychologique peut vous aider à faire face à ces moments difficiles.

Sources :

1. https://www.inserm.fr/dossier/endometriose/
2. Collinet, P., Fritel, X., Revel-Delhom, C., Ballester, M., Bolze, P. A., Borghese, B., … & Canis, M. (2018). Prise en charge de l’endométriose: recommandations pour la pratique clinique CNGOF-HAS (texte court).Gynécologie Obstétrique Fertilité & Sénologie,46(3), 144-155.
3. Fritel, X. (2007). Les formes anatomocliniques de l’endométriose Endometriosis anatomoclinical entities.Journal de Gynecologie Obstetrique et Biologie de la Reproduction,36(2,113-118).
4. Alice, R. (2020). L’endométriose au travail: les conséquences d’une maladie chronique féminine mal-reconnue sur la vie professionnelle.Connaissance de l’emploi, (165).

L’efficacité et la sécurité d’emploi ont été établies par la réalisation d’une étude clinique en double aveugle contre placebo.

Dès la fin du deuxième mois, 93,3% des femmes ont ressenti une baisse de 66,1% de la douleur.

Cela est très significatif puisque la baisse de l’intensité de la douleur est déjà ressentie significativement à partir de 33%.

De plus, la prise d’antalgique (Ibuprofen) a été divisée par 2,5 chez les femmes prenant Nutri Endo.

Il n’a pas été observé d’effets secondaires indésirables imputables à Nutri Endo.

Prendre :

• une séquence de 10 mini comprimés le matin (Nutri Endo 1)
• une séquence de 10 mini comprimés le soir (Nutri Endo 2)

Croquer et avaler les mini comprimés un par un dans l’ordre de 1 à 10. Cela prend moins d’une minute.

Le traitement initial doit avoir une durée minimale de 2 mois.

A augmenter à 3 voire 4 mois en cas de douleurs intenses.

On peut reprendre le traitement après plusieurs semaines ou plusieurs mois en cas de récidive.

Vous pouvez prendre des médicaments et/ou compléments alimentaires en même temps que Nutri Endo.

Aucune interaction avec d’autres traitements éventuels n’a été observée.

Dans certains cas, votre peut médecin peut décider de vous prescrire Nutri Endo en même temps qu’un traitement hormonal ou anti-douleur.

Consulter votre médecin en cas de doute ou de question.